Les gastropodes et les céphalopodes étaient souvent victimes de prédateurs qui par leurs morsures pouvaient occasionner des lésions mortelles.
Mais, la plupart du temps, ce n'était que des blessures réversibles et l'animal avait la faculté de pouvoir de reconstituer sa coquille. Si un trou se forme pour une raison x ou y, une fine pellicule se place alors à l'emplacement de la blessure, le carbonate de calcium qui constitue la coquille se reforme en quelques jours et obstrue l'orifice. Cette réparation laisse des traces bien visibles et modifie l'aspect de l'animal,changement dans la costulation des ammonites par exemples à tel point que ci l'on n'y prenait garde, de nouvelles espèces verraient le jour.
exemple d'un Stephanoceras : les cotes sont rétroverses vers le péristome.
L'enroulement est désaxé.
La blessure grandit avec l'accroissement
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